la nourriture

  Cet article complète le précédent qui parlait déjà de la boisson.

  Durant la marche, il est nécessaire de grignoter et chacun juge de ce qui lui convient (fruits, barres énergétiques, etc...). S'il ne faut pas poser le sac pour attraper l'en-cas, c'est parfait.

  A midi, il est très fréquent de faire une sorte de pique-nique mais ne pas abuser des sandwiches un peu juste en apport énergétique. En Espagne, le menu pèlerin à 10 € proposé dans de nombreux restaurants constitue une bonne alternative.

  Pour l'en-cas du matin et le pique-nique du midi, mieux vaut avoir fait ses courses la veille à l'étape car le chemin est loin d'offrir partout une boutique pour les achats. A ce sujet, choisir d'acheter la quantité juste nécessaire pour le lendemain car il est inutile de porter un poids inutile. Penser aussi à l'influence de la chaleur sur les produits achetés et transportés en haut du sac à dos.

  Le soir, repas chaud pris au gîte en compagnie des autres pèlerins avec les provisions achetées sous réserve entre autres des horaires habituels de repas de chacun (c'est fou les décalages au sein de l'Europe : 17 h pour certains, 21 h pour d'autres) et de la présence d’ustensiles de cuisine en quantité suffisante. En France, l'hospitalier qui accueille propose presque systématiquement la préparation du repas.

  Autre solution partagée par nombre de pèlerins en Espagne, le dîner pèlerin pris à l'extérieur, peu varié certes mais pas moins que le sempiternel plat de pâtes accompagné de sa charcuterie. On y fait souvent des rencontres plus enrichissantes car le repas est moins perturbé par le brouhaha et le va-et-vient, on est servi et on baigne dans l'ambiance espagnole.

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